Qualité de l’air intérieur : une fiche pratique sur les éléments importants pour garantir un meilleur confort dans l’habitat

L’air que nous respirons peut être 5 à 10 fois plus pollué à l’intérieur qu’à l’extérieur !

En cause ? Des polluants qui dépendent à la fois de la nature ou de l’origine des éléments d’ameublement, de décoration et de construction ; mais aussi et surtout, de la température de l’air intérieur, du taux d’humidité, de l’occupation des locaux, de la vitesse et débits de renouvellement d’air, et parfois, par une absence ou défaillance des systèmes de ventilation.

Une qualité de l’air satisfaisante dans le bâtiment peut améliorer la santé des occupants par :

• Un choix des matériaux pensé en amont, grâce à des matériaux émettant peu de COV ;
• Des systèmes de ventilation performants, assurant un renouvellement suffisant de l’air ;
• Des gestes simples (entretien régulier des équipements) et des actions de sensibilisation des occupants.

Quelles sont les étapes à considérer ? Quels sont les impacts sur la santé en cas de mauvaise qualité de l’air intérieur ?

• Fiche 1 : Est-il possible de favoriser un apport lumineux important tout en préservant un bon confort thermique ?
• Fiche 2 : Bâtiments connectés et confort : quel équilibre rechercher entre le « tout piloté » et contrôle par l’occupant ?
• Fiche 3 : Garantir une bonne qualité de l’air intérieur : quels sont les éléments importants ?
• Fiche 4 : Confort thermique : comment tendre vers un confort 4 saisons ?
• Fiche 5 : Confort et coûts : deux principes opposés ?

Pour aller plus loin sur cette thématique, et plus largement sur les 5 enseignements tirés d’initiatives ayant intégré le confort dans le bâtiment, retrouvez :