Pour beaucoup, la notion de confort dans l’habitat est souvent associée à une catégorie socioprofessionnelle privilégiée. Bénéficier d’un logement confortable aurait donc, à priori, un certain coûts de mise en œuvre.
Pourtant, le confort peut être accessible si l’on prend en compte, dans un premier temps, un certain nombre de précautions dès la phase de construction ou d’élaboration de projet de rénovation (et ce dès les premières réflexions amonts surtout dans le cas de bâtiments existants) ; tout en veillant à un entretien régulier des équipements favorisant le confort durant la phase d’exploitation.
Des actions de travaux adaptées, associées à de la gestion active, permettent d’obtenir de bons résultats. D’autant que de plus en plus d’équipements de gestion connectés facilitent désormais le suivi en temps réel des différentes données, favorisant une évolution des comportements.
Ainsi, peut-on vraiment opposer le confort avec les coûts qui en découlent ?